Dans le cadre des visites de rentrée scolaire, Aymeric Meiss, directeur académique des services de l’Éducation nationale des Hautes-Alpes et Sandrine Thurin, inspectrice de la circonscription, se sont rendus dans les écoles du RPI les Demoiselles coiffées.
 
Le Dauphiné Libéré – Hier à 19:53 – Temps de lecture : 2 min
 
Lors de la visite du directeur académique des services de l’Éducation nationale, les écoliers de Rochebrune étudiaient les chauves-souris sur l’aire terrestre éducative. Photo Le DL/Nathalie Audier
 

Formé des communes de Bréziers, Théus, Rochebrune et Remollon, le regroupement pédagogique (RPI) des Demoiselles coiffées existe depuis 1998, soit depuis bientôt 30 ans. Le directeur académique des services de l’Éducation nationale (Dasen) des Hautes-Alpes et Sandrine Thurin, inspectrice de la circonscription, ont fait une première étape à l’école de Remollon. Ils ont rencontré les enseignants Antoine Michel et Claire Lerique ainsi que leurs élèves de maternelle et CP, pendant le temps de la sieste pour les tout-petits.

Les avantages du RPI

L’inspecteur a souligné les avantages du RPI et la souplesse qu’il apporte dans la répartition des élèves pour que les classes soient toujours équilibrées. Il constitue un atout pour les petites communes rurales où la démographie actuellement stable, peut varier d’une année à l’autre. Puis ils se sont rendus à Rochebrune sur l’aire terrestre éducative, à la base de loisirs des 3 Lacs, où les élèves étaient en plein cours de géographie pour certains et de biodiversité pour d’autres. Créée il y a cinq ans, l’ATE (aire terrestre éducative) fonctionne bien et les élèves sont particulièrement sensibilisés à l’écologie et la biodiversité. Sophie Arnaud et Elina Donio, les enseignantes, ont présenté leur travail du jour à l’inspecteur, un peu surpris dès son arrivée sur le site : « Je m’attendais à visiter une école, mais non, c’est plutôt original et intéressant. » La classe se rend une fois par mois sur l’ATE.